Toi, oiseau, qui ce soir, a les ailes fatigués,
Te souviens tu des années où fébrilement
Tu rêvais du ciel d'azur et du firmament?
Tu étais libre, fier de pouvoir t'envoler.
Mais ce soir, dans cette nuit et brume si noire,
Tu désespères deperdre ta liberté.
Sers toi de ce souvenir pour te relever.
La nature gagne, mais ne perd pas espoir.
Initie toi à une seconde existance
Gorge toi de volonté et affronte la vie
C'est une dure réalité, un défi.
Et ouvre ton coeur, vole vers tes espérances
Car la confiance qui régnera en ta foi
Te donneras plus de puissance, crois en toi!
avril 2001,
Anne Sophie, Mélanie, Emilie, S.
samedi 14 mars 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire