vendredi 1 octobre 2010

Aïe !

Il est 8h30, je suis à l'heure et lui aussi. On échange quelques banalités, puis il en vient immédiatement au fait :
- Déshabille toi. Enlève ton pantalon. Enlève ton caleçon également.
Je suis nu, la verge pendante, debout, devant lui. Je garde tout de même mon T shirt.
- Viens t’asseoir ici. Allonge toi. Mets toi à l'aise. N'aies pas peur.
Il m'enfile son truc bien que je ne suis pas vraiment enchanté. Ça me fait mal, mais il s'en moque. Il me dit que ça ne durera pas longtemps. Je le regarde, impuissant. Il est vieux, pas attirant, même un peu froid. Il ne me fait pas bander. J'attends, en serrant parfois des dents, en retenant de crier de douleur. Je me crispe par moment lorsque son truc me brûle. Le passage est trop étroit mais il a l'habitude. Je me laisse faire en attendant impatiemment que ce soit terminé. Il la ressort enfin. Je pensais que c'était terminé. Mais non, cela ne lui suffit pas. Il recommence encore une nouvelle et dernière fois.

Au bout d'une heure, je me sauve enfin, mais avant il me demande un chèque de 190€ pour le remercier. Ça fait cher pour enfiler 2 sondes dans mon urètre. Au bilan, il détecte tout de même une hypertonie urétrale. Rien de bien méchant, mais ceci risque de s'aggraver en vieillissant. Mes copains devront arrêter de se moquer de moi lorsque je vais 15 fois aux toilettes par jour, j'ai bien un problème qui est enfin détecté.